Archives mensuelles : septembre 2012
Japon, « Purasuchikku ryōri » / dinette
Ces jolis packagings bien appétissants ne contiennent en fait pas de nourriture mais une matière plastique à sculpter/mouler/décorer pour créer des plats cuisinés FACTICES. À l’image de ceux qui ornent les devantures de restaurants.
Japon, mascottes : produits dérivés 1.
Comme nous vous l’expliquions précédemment, les mascottes offrent un « plus » indéniable par rapport au autres outils d’identité visuelle : la déclinaison en une multitude de produits dérivés, dont la vente, sous licence, rapporte d’important revenus à son détenteur : office de tourisme, au site touristique
Mascotte touristiques Osaka Dotombori 2
Le recours à des figurines symbolique ne date pas d’hier, ici le « maneki neko » un chat portant un ryô (pièce en or) se place devant l’entrée des magasins pour inviter le chaland et attirer soit le client (patte gauche) ou l’argent (patte droite). À coté le lapin est le symbole de la lune. Comme on le voit, ce chat de statuette est devenue également une mascotte (ou « Yuruchara » / « Yuru Kyara ») suscitant de nombreux produits dérivés. Derrière, un poster présentant une autre des nombreuses mascottes de la préfecture d’Osaka : Ishikirin, emblème de la ville d’Higashiōsaka (osaka est) et du sanctuaire shinto Ishikiri-tsurugiya (au pied du Mont Ikoma et ses … Continuer la lecture
Japon, Mascottes touristiques et souvenirs.
Le grand avantage des mascottes touristiques sur les autres outils de communication et d’identité visuelle, c’est – en plus de l’utilisation « événementielle » – qu’on peut les décliner en une multitude de « produits dérivés » et autres souvenirs : peluches, objets, nourriture et ainsi générer un important chiffre d’affaire. Ici dans un magasin de souvenir de Dotombori (à Osaka) on en aperçoit 3 différentes parmis beaucoup d’autres : un poulpe rouge et un autre personnage (accroché aux lanternes), dont j’ignore l’origine ; ainsi qu’un singe (emblème d’un quartier commerçant d’Osaka).
Japon, mascottes : 2.
Qu’elles soient touristiques (ce qui existent très peu en France) ou commerciales, les mascottes sont une institution au Japon. Un élément de communication et d’identité que les entreprises japonaises, surfant sur la culture « kawai » (mignon) usent sans complexe ni modération. Un exemple à suivre car (je le montrerais prochainement) en plus des bénéfices classiques des outils d’identité visuelle (logo, charte graphique ) la mascotte offre un avantage considérable : la possibilité de créer, multiplier et vendre de nombreux « produits dérivés ».